Bonna Devora Haberman, fondatrice de Women of the Wall, est décédée avant hier. Pour ceux qui souhaiteront faire connaissance avec son oeuvre, sa mémoire sera une bénédiction.
Il doit y avoir quelque part une source secrète.
Toute personne qui s’y abreuve trouve le sens de sa place dans le monde et la sérénité dans son rapport à l’autre, aux autres, aux atrocités du monde, à ses beautés.
Je pense que c’est dans cet endroit de félicité que Bonna est allé chercher ce grand sourire gourmand irrésistible qui semblait toujours vous dire que votre présence et ce moment était un délice.
« Accueille tout l’humain avec un visage bienveillant »
Ce sourire qui alternait avec un visage sérieux et concentré, concerné par les souffrances et les injustices auxquelles elle s’adressait.
Ce qui était, était et ce qui devait changer, le devait.
A partir de ce constat, les limites de l’impossible dans la pensée disparaissait.
J’imagine que les collines bondissaient comme des béliers, les montagnes comme des agneaux.
Ce qui était possible au delà de nos croyances se réalisait.
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