Nous ne maîtrisons pas tout de l’environnement de nos enfants. Nous aimerions leur offrir le meilleur de ce que le monde propose, et pourtant, souvent, ils doivent souvent faire face à des réalités très dures que nous aurions aimé leur épargner.
Au lendemain des fusillades de Paris, nous sommes perplexes.
Que dire? Que taire? Que faire?
Boris Cyrulnik nous dit que la résilience vient de deux facteurs: le lien « secure » et la possibilité de verbaliser. Il alerte également dans son dernier livre sur le risque du positionnement en tant que victime.
Ses enseignements sont à mon sens cohérents avec l’enseignement de Hillel l’ancien: « si je ne suis pas pour moi, qui le sera, si je ne suis que pour moi, que suis-je, si je n’agis pas maintenant, quand? »
Je vais donc essayer de partager quelques réflexions sur ce que nous pouvons faire pour nos enfants lorsque les événements extérieurs tendent à destructurer la société, et à destructurer leurs parents, nous!
Ce serait sûrement bien de partager nos réflexions à ce sujet.
1 – Prendre soin de soi-même. « Si je ne suis pas pour moi, qui le sera? »
2 – Nous tourner vers l’extérieur. « Si je ne suis que pour moi, que suis-je? »
3 – Protéger notre propre structuration interne et familiale. « Si ce n’est pas maintenant, quand? »
Je vais faire de mon mieux pour développer ces différents points dans les jours qui viennent.
Je suis en route vers la réunion du judaïsme francophone à Bruxelles, j’écris de mon smartphone, excusez svp les éventuelles fautes de frappe.
Partageons également nos remarques et commentaires. La sagesse collective, ça compte!
Courage et chalom à chacun et à chacune.
MERCI !
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