Après la réflexion, les décisions, voici venu le temps de la fête. Dans quelques minutes nous entrons dans chabat et dimanche soir, nous accueillerons soukot!
Venez découvrir la souka et le loulav rue du Surmelin, et/ou préparez-vous un petit moment en famille sous votre souka réelle ou en travaux manuels. Voici le matériel pour un soukot familial, avec un seder que j’ai créé spécialement pour vous: Lien vers les ressources du seder de soukot: https://rabbinchinsky.fr/2020/10/02/comment-ca-un-plateau-du-seder-de-soukot/
L’office du soir de soukot dure une demi-heure, il aura lieu à 18h30. Venez nombreu.ses, les enfants sont bienvenus! Avant l’office, à 18h je préparerai une petite activité, welcome!
L’office du matin aura lieu à 10h. Si vous vous inscrivez ici, je saurai que vous viendrez et c’est toujours utile quand les fêtes tombent en semaine: https://t.me/+6J6Bn33iwiI0YTJk Venez avec votre Loulav si vous pouvez, nous les partagerons pour que tout le monde puisse en profiter.
Reservez les mêmes plages horaires pour le dimanche suivant, car ce sera alors le temps de SimHat Torah. Pour vous préparer:
3 chants spécial Soukot chant et translittération ici:
4 Chants faciles et entrainants de 3/5 ou 7 mots, en hébreu décrypté pour se réjouir et danser à SimHat Tora. Relevez le défi, en famille ou entre amis!
Après l’effort, le réconfort… Soukot, SimHat Torah sont des moments merveilleux, plus intimes, ils sont « zeman simHaténou », le temps de notre joie. Venez découvrir le loulav, la souka, les danses et la reprise de la lecture de la torah…
Les lundi 20 et 27 à 18h30, discussion sur la fête puis très court office de 18h45 à 19h15, idéal pour les familles.
Les mardi 21 et 27 à 10h, offices avec les merveilleux textes spécifiques à la fête et le hallel.
Le minian est un devoir communautaire. voulez-vous, pouvez-vous contribuer à le garantir pour les fêtes? Ou plus simplement, voulez-vous me faire part de votre présence? Oui? Grand merci à vous, ainsi, ensemble, nous assurons la base du minian, permettant à toutes et à tous de se joindre à nous sur une base stable.
Aujourd’hui est le jour du jugement, nous jugeons nos vies. Non pas avec dureté, pour condamner, mais avec intelligence, pour comprendre et pour orienter.
Que sont nos vies ? Qu’est-ce qui fait que nous sommes nous-mêmes ?
Notre désir, nos sentiments, nos valeurs, nos opinions, nos actions, notre environnement. Et surtout et avant tout, le fait que nous sommes libres d’analyser toutes ces choses : nous pouvons prendre conscience de nos désirs, de nos sentiments, de nos valeurs, de nos opinions, de nos actions et de notre environnement. C’est ce que nous faisons particulièrement à Tichri, nous commençons en cette soirée de Roch hachana.
Avons-nous vraiment du pouvoir sur ces éléments ? Peut-être que nous avons toujours les mêmes désirs, sentiments et pensées, nous agissons de façon toujours semblable ? Peut-être. Mais nous pouvons aussi changer.
Notre tradition considère que nous avons ce pouvoir, que la Téchouva, la téfila et la tsédaka permettent de repousser la fatalité de l’éternelle répétition de nos vies. (chanter)
Les textes traditionnels et les fêtes sont un point d’appui qui nous permet de prendre du recul et de faire téchouva, le retour sur soi. Les textes nous ouvrent à la pensée critique, les fêtes nous donnent le temps de nous y consacrer, à cette téchouva.
Les textes des offices, les chants et leur ferveur sont un point d’appui pour travailler nos sentiments et nos désirs dans la téfila, l’introspection et l’émotion dans la prière.
Les commandements de solidarité sont un point d’appui pour faire évoluer notre rapport aux autres et changer le monde grâce à la tsédaka, au partage solidaire des ressources.
Notre pensée, nos sentiments et nos comportements nous permettent de vivre pleinement.
Ils ont été mis à rude épreuve au cours de l’année écoulée, santé, santé mentale, espoir pour le monde ont été éprouvés par la maladie, par nos craintes, par les confinements, et par une actualité mondiale pleine de catastrophes climatiques et humaines, guerrières et économiques.
J’étais en train de penser à tout cela dimanche, sur le chemin de Beaugrenelle, pour inaugurer la journée de formation de nos enseignants (inscrivez vos enfants au talmud torah !).
J’ai constaté que mes pensées étaient sans cesse parasitées par un mécanisme de mes yeux et de mon cerveau : je lisais toutes les publicités. J’ai arrêté, puis ré-arrêté, puis ré-ré-ré arrêté, mes yeux revenaient sans cesse à leur travail de lecture.
Le neuromarketing était à l’attaque. Attrapant mes yeux, pour influencer ma pensée, mes sentiments, et mon rapport aux autres.
Je ne me suis PAS dit que j’étais faible et que je devrais aller voir un psy pour qu’elle m’aide à régler ce problème.
La publicité mène sa campagne contre mon monde intérieur.
Michael Lowry dit également « Il faut donc plutôt voir la publicité comme une maladie invasive, un virus pathogène se propageant à l’échelle du globe… et dans nos cerveaux. On sait depuis longtemps que la pub joue principalement sur le rapprochement entre désir sexuel et pulsion d’achat, que la publicité est intrusive et qu’elle a vocation à modifier nos comportements par le truchement de techniques de manipulation de nos émotions. » https://www.cairn.info/revue-ecologie-et-politique1-2010-1-page-11.htm?contenu=resume
La publicité s’attaque à notre désir et à nos émotions, pour manipuler nos croyances et nos valeurs, et contrôler nos comportements, elle est omniprésente dans notre environnement. Ce qui veut dire qu’elle chasse sur le terrain du cœur de notre humanité. Elle n’est pas vraiment compatible avec la téchouva, la téfila et la tsédaka.
Alice Miller nous instruit : « Ceux qui, depuis le début de leur vie, n’ont jamais eu le droit de ressentir leurs besoins vitaux authentiques doivent compenser cela en recherchant des substituts pour se satisfaire, sans pouvoir se rendre compte qu’ils entrent ainsi dans un cercle vicieux d’autodestruction. » https://www.alice-miller.com/conclusion/
La publicité interfère avec notre perception de nos besoins pour nous vendre des substituts.
La question centrale est de rechercher nos besoins vitaux authentiques : respiration, température, boisson, nourriture, vêtements, mouvement, connexion aux autres, respect d’autrui, créativité… L’air, l’eau, la nourriture, la vie sont sacrés. Si vous cherchez une liste courte de nos besoins voyez les 14 besoins répertoriés par Virginia Henderson, si vous souhaitez une liste longue je vous conseille celle dressée par la Communication NonViolente de Marshall Rosenberg (https://construistavie.fr/communication-non-violente-etapes/ )
Ces besoins nous appartiennent, nous avons le droit et le devoir d’en prendre soin, en conscience, et donc de ne pas les déléguer. Si nous les déléguons à quelqu’un, cette personne a une emprise sur nous. Si nous les déléguons aux publicitaires, ils les utilisent pour nous manipuler. Au lieu d’être à l’image du dieu créateur, nous serions alors soumis à des visions idolâtres, nous retournerions en esclavage.
Notre tradition nous enseigne cela en nous répétant : prenez-soin de vos vies !
Le deutéronome nous dit :
Vous prendrez grand soin de vos âmes car vous n’avez pas vu d’image lorsque l’Eternel vous a parlé au Horev
Chaque personne sera redevable à l’avenir de toute chose que son œil a vu et qu’elle n’a pas mangé. yérouchalmi kidouchin 48b chap 4 halaha 12
עתיד אדם ליתן דין וחשבון על כל שראת עינו ולא אכל
Nous devons prendre soin de nos besoins authentique, de façon authentique, en pleine conscience de ces besoins. Nos besoins sont communs, ils nous rapprochent, si nous l’oublions, cela revient à commettre un vol vis-à-vis de toute l’humanité, et de la création elle-même. Comment développer notre conscience ? En prononçant les bénédictions.
Rabbi Hanina bar papa a dit toute personne qui jouit de ce monde sans bénédiction a commis un vol vis-à-vis de dieu et de l’assemblée d’israel. Babli BraHot 35b
א »ר חנינא בר פפא כל הנהנה מן העוה »ז בלא ברכה כאילו גוזל להקב »ה וכנסת ישראל
Avec une bénédiction, « barouH ata adonaï… », nous rattachons nos besoins authentiques à notre humanité. J’ai soif parce que je suis en vie, j’ai besoin d’amour parce que je suis un être humain, j’ai besoin de respect parce que je suis crée à l’image du créateur. Moi comme toutes et tous, moi, comme mes enfants demain. Dans la perspective du changement climatique, nous savons aujourd’hui que cette conscience est nécessaire. Sans cette conscience, nous volons le Créateur au sens propre, puisque nous faisons disparaitre les espèces végétales et animales, et bientôt peut-être notre propre espèce.
Greenpeace résume : « Si nous voulons avoir au moins 50 % de chances de limiter le réchauffement à 1,5°C, il ne nous reste plus que 440 Gt de CO2 à émettre à compter de… 2020. Or, sur la seule année 2019, les émissions mondiales dépassaient 40 Gt de CO2. En restant sur cette trajectoire, le budget carbone pour limiter la hausse des températures à 1,5°C sera épuisé dès le début des années 2030 https://www.greenpeace.fr/climat-5-points-cles-du-rapport-du-giec/
Cet été, le conseil d’état a condamné l’Etat à une astreinte de 10 millions d’euros tous les 6 mois jusqu’à ce qu’il fasse respecter les normes européennes de pollution de l’air.
Voilà le programme que nous fixe notre tradition, survivre, aider la création à survivre, vivre, vivre bien, vivre dans l’harmonie avec nos pensées, nos sentiments et nos actions dans le monde.
Ce n’est peut-être pas facile, mais c’est peut être aussi plus simple qu’on imagine.
Les revenus de la publicité en France seraient de 6 milliards d’euros. Cela fait lourd dans la balance, s’opposer au neuromarketing n’est pas facile.
L’histoire du judaïsme est d’environ 3000 ans. Cela fait également lourd dans la balance, et nous avons certainement besoin de tout cet appui pour faire face et prendre librement la responsabilité de nos besoins.
Parmi nos besoins, je rappelle qu’il y a le besoin de sécurité – et comment nous sentir en sécurité quand 3 millions de nos semblables meurent de faim chaque année ? Nous avons également un besoin de cohérence – et où est la cohérence lorsque la faim persiste alors que le cout de son éradication est trois fois moindre que le cout de sa persistance ? Nous avons besoin de sens – et où est le sens lorsque la publicité lorsque les dépenses publicitaires en France sont de l’ordre de 30 milliards chaque année, et que leur résultat est un assaut sur notre « temps de cerveau disponible » et sur les ressources naturelles (une lettre sur cinq dans le monde est de la pub !).
En ce jour de Roch hachana, nous inaugurons dix jours de réflexion intense sur ce que sont nos besoins réels, sur la façon dont nous voulons les satisfaire, sur l’impact de nos choix sur l’ensemble du monde. https://nosgestesclimat.fr/simulateur
Chaque année, à Roch Hachana, nous envisageons symboliquement que si nous ne sommes pas à la hauteur, la fin du monde se profile. Depuis quelques années, cette image devient une réalité.
Si vous m’élisez, mon programme est simple : remplacer la consommation d’objets par la consommation de notre créativité, la mise en œuvre de notre humanité, créons et profitons de pensée et de téchouva, d’émotions et de téfila, d’entraide et de tsédaka.
Nourrissons nos besoins authentiques.
Ce n’est pas si simple, cela demande certainement un recablage sérieux de nos circuits neuronaux et de nos circuits économiques. La publicité pourrait justement être mise au service de ce changement.
Alors, sur le chemin de Beaugrenelle, je pourrais alors voir sur les affiches du métro et dans les rues, des œuvres d’art, des citations d’autrices, des associations qui me proposeront d’aider ou de recevoir de l’aide.
En attendant, je continuerai cette année ce que j’ai initié l’année dernière, je recoudrai mes vêtements, je m’absenterai davantage de mon magasin de surgelés, et, dans mes promenades, je porterai mes yeux vers les feuillages verts des arbres, en saluant mes amis végétaux.
Et après tout, roch hachana ou pas, le meilleur du meilleur de la vie n’est-il pas de prendre soin de nos besoins vitaux, de choisir notre propre voie, de vivre nos sentiments, et de nous entraider ? Je veux le faire par altruisme, et je veux le faire par gourmandise.
Accueillons l’année 5782 en beauté, elle, ses 354 jours, 8496 heures, 509 760 minutes, 30 585 600 secondes
Notre cours d’hier soir comportait une brève méditation de projection dans les fêtes de Tichri et dans la Téchouva, à travers la recherche du meilleur de nous-mêmes et du meilleur du monde qui nous entoure.
Cela m’a inspirée et je partage avec vous un podcast que j’ai enregistré à l’instant, une méditation guidée pour nous aider à nous ancrer dans notre vision du meilleur.
Pour ma part, ce temps m’a permis de me relier à davantage de confiance, et je souhaite garder ce sentiment présent jusqu’à Roch hachana en y pensant lors des bénédictions concernant la nourriture et en portant mon écharpe blanche jusqu’à Roch hachana. Et vous, quelles qualités, sentiments, sensations voulez vous cultiver dans cette première étape de Téchouva? De quelle façon allez-vous vous rappeler d’y penser? Partageons-nous découvertes et dites-moi ce que vous inspire cette petite méditation….
Renseignements et réservations pour les fêtes de Tichri auprès de Mme Myriam Szerman au 01 40 30 18 60 ou par e-mail à m.szerman@judaismeenmouvement.org, Si vous souhaitez réserver vos places en ligne, cliquez ici pour célébrer Yom Kippour au Temple de la Bastille avec nous (choisissez l’option Temple de la Bastille).
Voici les éléments écrits que nous utiliserons ce soir. Nous traduirons et discuterons ces éléments ce soir, accueil à 18h45. Tout sera traduit, donc, pas de panique! Le cours est ouvert à toutes et tous à partir de 11 ans.
Chant 1 – Ani véata néchané et haolam, ani véata az yavoou kvar koulam amrou et zé kodem léfanaï lo méchané ani véata néchané et haolam (écoutez ici: https://www.youtube.com/watch?v=gP6PS-poyMg)
Toi et moi nous changerons le monde, toi et moi puis tout le mond viendra, d’autres ont dit cela avant moi mais peu importe, toi et moi nous changerons le monde
אני ואתה נשנה את העולם, אני ואתה אז יבואו כבר כולם, אמרו את זה קודם לפני, לא משנה – אני ואתה נשנה את העולם.
אני ואתה ננסה מהתחלה, יהיה לנו רע, אין דבר זה לא נורא, אמרו את זה קודם לפני, זה לא משנה – אני ואתה נשנה את העולם.
הלכות ראש השנה ימי תחנונים וערב ראש השנה ובו ארבעה סעיפים א • ב • ג • דסעיף א
נוהגים לקום באשמורת לומר סליחות ותחנונים, מראש חודש אלול ואילך עד יום הכיפורים. הגה: ומנהג בני אשכנז אינו כן, אלא מראש חודש ואילך מתחילין לתקוע אחר התפילה שחרית. ויש מקומות שתוקעין גם כן ערבית. ועומדים באשמורת לומר סליחות ביום ראשון שלפני ראש השנה. ואם חל ראש השנה שני (או) שלישי, אז מתחילין מיום ראשון שבוע שלפניו (מנהגים). ואבֵל אסור לצאת מביתו כדי ליכנס לבית הכנסת לשמוע הסליחות, מלבד בערב ראש השנה שמרבים סליחות, יכול האבל ליכנס לבית הכנסת (פסקי מהרי »א סי’ קל »ג). וידקדקו לחזר אחר שליח ציבור היותר הגון והיותר גדול בתורה ובמעשים שאפשר למצוא, שיתפלל סליחות וימים נוראים, ושיהא בן שלושים שנים, גם שיהא נשוי (כל בו). מיהו כל ישראל כשרים הם, רק שיהיה מרוצה לקהל. אבל אם מתפלל בחוזקה, אין עונין אחריו אמן. וכן צריך שיוציא כל אדם בתפילתו. ואם יהיה לו שונא ומכוין שלא להוציאו, גם אוהביו אינם יוצאים בתפילתו (הגהות מנהגים ישנים). ויש מקומות נוהגים שהמתפלל סליחות מתפלל כל היום (כל בו).
Que c’est bon et agréable un groupe d’adelphes ensemble
Elements de réflexion:
Quelle est notre vision pour le monde, Comment avancer dans cette vision pendant les fêtes de Tichri, Qu’a représenté pour nous l’année passée, qu’est-ce que nous attendons de l’année à venir.
Outils: Midrach, chant, éléments de la pratique juive, réflexion personnelle, discussion, partages en groupe
Pour vous préparer, je vous invite à préparer un objet qui symbolise pour vous l’année passée, et un autre qui symbolise ce que vous attendez de l’année à venir.
Il est temps également de vous inscrire aux fêtes, j’officierai cette année à Surmelin pour Roch Hachana, Soukot et SimHat Torah et au Temple de la Bastille pour Kipour. Les conditions de sécurité seront strictement observées et j’attends avec impatience de retrouver la ferveur qui nous élève ensemble.
Renseignements et réservations auprès de Mme Myriam Szerman au 01 40 30 18 60 ou par e-mail à m.szerman@judaismeenmouvement.org, Si vous souhaitez réserver vos places en ligne, cliquez ici pour célébrer Yom Kippour au Temple de la Bastille avec nous (choisissez l’option Temple de la Bastille).
En vous inscrivant sur ce lien, vous recevrez le lien de ce lundi ainsi que les lien zoom des cours jusqu’à janvier :
Retrouvons-nous enfin! Lundi 6 septembre au soir, l’année juive se renouvelle, avec le soir de Roch hachana. Comment allons-nous nous renouveler cette année? Que voulons-nous garder, que voulons-nous changer, et comment voulons-nous procéder? Notre antique et moderne tradition a fixé des rendez-vous, Tichri est l’un des grands rendez-vous de l’année juive, et je vous invite à nous retrouver pour le préparer ce lundi, sur zoom, à 19h (accueil à 18h45, entrée possible jusqu’à 19h05). Nous parlerons de Roch Hachana, de Kipour, de Soukot et de SimHat Torah. Nous donnerons quelques éléments concernant ces fêtes à travers réflexion en binôme, méditation juive, halaHa et midrach. Je vous conseille de venir avec votre famille et vos amis pour partager cette expérience. Ce serait bien qu’ils et elles s’inscrivent individuellement.
Pour vous préparer, je vous invite à préparer un objet qui symbolise pour vous l’année passée, et un autre qui symbolise ce que vous attendez de l’année à venir.
Il est temps également de vous inscrire aux fêtes, j’officierai cette année à Surmelin pour Roch Hachana, Soukot et SimHat Torah et au Temple de la Bastille pour Kipour. Les conditions de sécurité seront strictement observées et j’attends avec impatience de retrouver la ferveur qui nous élève ensemble.
Renseignements et réservations auprès de Mme Myriam Szerman au 01 40 30 18 60 ou par e-mail à m.szerman@judaismeenmouvement.org, Si vous souhaitez réserver vos places en ligne, cliquez ici pour célébrer Yom Kippour au Temple de la Bastille avec nous (choisissez l’option Temple de la Bastille).
En vous inscrivant sur ce lien, vous recevrez le lien de ce lundi ainsi que les lien zoom des cours jusqu’à janvier :
3 chants spécial Soukot chant et translittération ici:
4 Chants faciles et entrainants de 3/5 ou 7 mots, en hébreu décrypté pour se réjouir et danser à SimHat Tora. Relevez le défi, en famille ou entre amis!
Une petite vidéo pour mieux comprendre Soukot et SimHat Torah, faite spécialement pour vous! Au cours de cette vidéo, vous aurez l’occasion de réfléchir à la façon spécifique dont VOUS voudrez célébrer la fête. Partagez, si vous le souhaitez, vos réflexions à la fin de cet article!
Demain, notre cours par Zoom-actif autour de Soukot, de simHat Tora et de la joie.
Vous pouvez vous inscrire jusqu’à demain 14h, vous recevrez le lien en début d’après-midi. Formulaire d’inscription
L’accueil dans le zoom se fera à 18h40, 18h50 et 19h. Le cours se fera dans une ambiance de partage libre, chacun et chacune à sa convenance, et j’espère que vous serez ouverts à apprendre les uns des autres. Une réelle présence est requise, pas de « demi-participation » possible.
En préparation je vous propose de chercher:
un objet qui vous rend heureux.se, une pensée qui vous rend heureuse, un événement qui vous a rendu.e heureux.se cette année, une chose qui vous a rendu.e heureuse au cours des dernières fêtes juives. Sur ces questions, la subjectivité et la créativité sont bienvenus. Je vous inviterai à partager les uns avec les autres à ce sujet, sans obligation.
Au plaisir d’étudier ensemble!
Autres actualités!
Chabbat soukot et simhat torah, ce chabbat: Inscrivez-vous en présentiel ou sur le zoom JEM pour les fêtes de Tishri: secretariat-surmelin@judaismeenmouvement.org
Autres cours concernant les fêtes:
Hanouka : Judaïsme, croyance, doute, science et libéralisme (14/12/20)
Pourim, tallit et téfilines : une éthique du déguisement (1/02/21)
PessaH, mézouza : une éthique de l’engagement (5/04/21)
Chavouot : un éthique de la gratitude (3/05/21)
D’autres cours non liés aux fêtes sont prévus. Vous pouvez consulter mon agenda, ou/et vous abonner à ce site pour recevoir les infos.
Selon moi, il est possible de préparer un très beau seder de soukot en moins de dix minutes… Je le prouve avec ces trois vidéo tutoriel, accompagnées d’une petite explication et d’un petit chant…
Vous aurez besoin des choses suivantes (ou de votre imagination) :
Une cabane, une vraie, avec des poteaux, des murs, et recouverte de feuillages, comme le veut la tradition, ou des draps tendus au milieu du salon, avec si possible quelques branchages.
Une bougie (ou deux le chabbat), des allumettes.
Une coupe de Kidouch, ou un joli verre, du vin ou du jus de raisin.
Des Hallot (pain tressé) ou du pain quel qu’il soit, s’il est joli, spécial, c’est mieux.
Connaitre quelques chansons de la fête ou l’air du seder si possible, mais une chanson en français sur un air connu est également disponible.
Des ventres pas trop affamés, pour patienter un peu avant le repas, ou des petits apéritifs à grignoter.
Pour embellir, vous pouvez également vous procurer un anneau par enfant plus un pour vous, une cabane miniature ou de quoi en réaliser avec les enfants, du coton pour symboliser les nuages.
Un plateau avec la coupe, le pain, un anneau, une mini souka et du coton (ou de la barbe à papa ? ce serait encore mieux !). Vous verrez pourquoi par la suite !